L’usage du vélo s’accélère depuis plusieurs années. Un développement qui s’est accentué avec la crise sanitaire. En Bretagne, l’intérêt pour la petite reine se fait ressentir par des investissements importants dans des plans vélo. Entretien.

L’usage du vélo s’accélère depuis plusieurs années. Un développement qui s’est accentué avec la crise sanitaire. En Bretagne, l’intérêt pour la petite reine se fait ressentir par des investissements importants dans des plans vélo. Entretien avec Benoît Yameundjeu, directeur général de Fifteen, une entreprise française qui conçoit, construit et distribue des produits liés à la vélocation.

La pratique du vélo a connu une accélération ces dernières années, qu’il s’agisse du cyclotourisme ou des déplacements domicile-travail. Comment l’expliquer ?

Selon moi, l’usage dépend de l’infrastructure. L’utilisation du vélo s’est beaucoup développée ces dernières années, car les grandes villes d’abord, puis les villes moyennes, ont investi dans des infrastructures favorisant cette pratique (pistes cyclables, bandes cyclables, voies vertes, etc.). Pendant la crise sanitaire, des infrastructures provisoires, tactiques, ont été mises en place. Au début, les gens se sont surtout mis au vélo pour échapper aux transports publics. Et puis, il y a eu un cercle vertueux. La plupart de ceux qui s’y sont mis ont mesuré ses bienfaits sur la santé et pour l’environnement, et ont continué de l’utiliser.

La Bretagne est une région qui met beaucoup l’accent sur cette pratique. De quelle manière ?

L’usage du vélo s’accélère depuis plusieurs années. Un développement qui s’est accentué avec la crise sanitaire. En Bretagne, l’intérêt pour la petite reine se fait ressentir par des investissements importants dans des plans vélo. Entretien avec Benoît Yameundjeu, directeur général de Fifteen, une entreprise française qui conçoit, construit et distribue des produits liés à la vélocation.